Oh Twiggy, si seulement j'avais tes yeux ...
Imaginez-moi le bide éventré, vautrée
sur une montagne d'intestins et de
boyaux,mes intestins, mes boyaux.
Je plaide coupable pour toutes ces
joules de trop. Pardonne-moi.
Je sens le temps, je le vois, je
le respire, je le touche mais il
passe, il défile sans escale. J'en
voudrais juste un peu plus, un peu
plus d'insouciance et de trêve
d'angoisse. Tout dégoupiller, appuyer
sur le boutonou tirer le piston.
Tout laisser s'échapper
et partir ...
Du rêve, rien que du rêve ...