Je voudrais qu'il existe un autre mode d'expression,
bien au-delà de la limite des mots.
Je voudrais anesthésier mon cerveau,
qu'on mette ma pensée en camisole de force.
Je voudrais flotter dans le vide,
n'être plus qu'une particule de matière.
Tout se confronte, s'affronte et se détruit :
je suis Romane, je suis vivante et malade, comme vous tous.
Outfit.
Samedi 25 juillet 2009 à 15:42
Jeudi 9 juillet 2009 à 19:56
Hypnotique.
Une irrépressible envie d'exploser. J'ai
un truc dans la gorge, une gène, et tout
ce superflu. Ce flux qui s'en va grâce au
pommeau. Les yeux qui piquent, les
larmes qui tentent de s'en échapper et
mon cerveau qui a tout prix les en empêche.
Je suis un arbre. J'ai les pieds sous terre
et la tête dans les étoiles. Les hommes
m'aiment et certains se battent pour moi.
En hiver je suis nue et je pleure, au printemps
je fleuris et lorsque l'été arrive je me
pare de rouges boucles d'oreilles. Mais je
pleure encore. Je suinte la sève, et mes lèvres
rattrapent l'eau. J'ai sur la langue un goût
salé et âpre. Ma mère vient me chercher
pour repriser ma robe d'amertume. Charlotte
m'enseigne un nouveau dicton. Je profitons,
je profitâmes, je profiterons, j'égoïste.
L'arbre n'a pas de feuilles, il fait des noeuds
dans ses trop nombreux cheveux blonds.
"Tes cheveux." C'est une barette qui nous uni,
ôte-la je te prie de ma tignasse rebelle. Et
à sa place, place une fleur blanche. Je vole
son rôle à la mariée, je descends la montée
sous la pluie. C'est le lot des jeunes de mon âge.
"You are not alone. I'm here with you."
J'écris de plus en plus, et toujours la même
chose. Les feuilles s'éparpillent et se perdent
au fur et à mesure. Personne ne comprends, je
ne comprends pas. Y'a t-il un créateur ? Le
créateur doit-être corrompu, comme mon iPod.
"Let it be." Je n'y crois plus, je ne crois plus y croire.
Masquons nous les yeux, jouons à colin-maillard,
nous verrons bien qui gagnera. Pas moi. Je suis
déjà perdante, je suis toujours perdante.
Je dois être purifiée de la folie.
Brûlez-moi, je suis une sorcière.
Dimanche 5 juillet 2009 à 21:35
Samedi 27 juin 2009 à 15:46
Thriller, 82'
Mr. Michael Jackson (RIP)
Ca faisait un moment que je
voulais montrer mon addiction
au King of Pop, et là, c'est le
moment ou jamais.
On peut le traiter de fou, mais qui ne l'est pas ? On
peut détester ce son kitchissime (en fait, j'adore le
ringard) mais à l'instant où il commence à danser,
je crois qu'on peut juste ... la fermer et baver.
OUAI, PARCE QUE BAMBI, IL A LE GROOVE , BABY :D
peut détester ce son kitchissime (en fait, j'adore le
ringard) mais à l'instant où il commence à danser,
je crois qu'on peut juste ... la fermer et baver.
OUAI, PARCE QUE BAMBI, IL A LE GROOVE , BABY :D
Samedi 27 juin 2009 à 15:05
Danser, c'est bien.
Avec vous, c'est mieux.
La DCA, c'est une brochette de filles en justo avec un petit homme
au milieu. C'est des cours quotidiens, de la motivation, de la flemme
et des rêves. C'est des abdos, des courbatures, des aducteurs et des
écarts (équerres ?). Deux profs merveilleux et une directrice inoubliable.
Au compteur, un nombre incalculable de répliques cultes, de musiques
cultes et d'exercices cultes. La DCA, c'est aussi des projecteurs, des tutus
et de la poudre : de la scène QUOI ! La DCA, c'est ce qu'on aime, c'est la danse.
" J 'ARRIVE VRAIMENT PAS A PRENDRE MON PIEDS ! "
<3