Outfit.

Jeudi 9 octobre 2008 à 21:00

Y'a pas à dire.
M
ême si le tabac thaïlandais il est pas bon,

on est les meilleures et c'est pour ça qu'on quittera toute

cette vie de rabbin pour aller bouffer des Fritelles
en invoquant l'esprit de Rosaaa.

=D

Lundi 6 octobre 2008 à 19:30

Je n'aime que ce qui est beau.

Dans 100 ans, personne ne se souviendra de l'Abbé Pierre ou de Martin Luther King,
alors que les noms de Staline ou de Hitler resteront gravés dans les mémoires.
On en conclut aussi que la vertu ne fera pas de vous un homme immortel,
la cruauté si.

Alors à défaut de métamorphoser votre coeur en rocher, soyez beau.

Et moi je suis une grosse vache geekette. Ouai, ouai. Mon frère l'a dit.

Et la vous vous dites : "Mais qui est-elle pour affirmer cela ?"
Je suis moi, en pleine phase d'égocentrisme poussé à l'extrême.

Ciao.

Samedi 4 octobre 2008 à 22:26

Il me reprend l'envie d'écrire. D'écrire, de décrire. Ma vie, les extravagances de ma cervelle trafiquée. Je veux écrire, écrire, écrire. Ecrire ce que je ne dis pas. Ecrire. Ecrire que j'ai mal aux yeux. De vicieux cernes bleus se plaisent à souligner mes prunelles brillantes. Toujours une larme aux coins des yeux, comme une étoile, prête à jaillir à la moindre contrariété. A moi d'éviter d'être troublée pour garder mes cils au sec. C'est ça une fille, une vraie. Un coeur tout rose sur pattes. Des angoisses et de l'émotion pour rien. J'aime bien raconter tout ça. Quelque part c'est de l'exhibitionnisme, de s'afficher comme ça, sur une page public. C'est presque du narcissisme de clamer sa fragilité comme ça, juste pour trouver quelques personnes trop gentilles pour vous réconforter. Des inconnus pour vous aimer. C'est toujours plus facile de se confier à un corps étranger. C'est toujours plus facile d'être un virus ... Je divague.


Rhum Âne 's singing the song thinking this is the life.

Samedi 4 octobre 2008 à 19:19

Tu sais ce que c'est que le vide, le néant, l'abîme,
le noir, l'invisible, le trou, le creux, le puit, l'absence, le rien ?

« Juliette aurait-elle aimé Roméo si Roméo
avait eu quatre incisives manquantes,
un grand trou noir au milieu ?
»

-Albert Cohen-

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